If you like IER, you may also like:

• 

  Söngvar elds og óreiðu
  by Misþyrming

  supported by 19 fans who also own “Verde, Negro & Negativo”

  Swirling guitars, furious drums, vocals that at the same time howl from infinite distance and are right up in your head; everything put into dissonant form with the help of unconventional songwriting. This album is my personal key to the icelanding black metal madness that I've ignored for way too long! Lukas Kaufmann

  go to album
• 

  selftitled
  by NONE

  supported by 17 fans who also own “Verde, Negro & Negativo”

  "La mort n'existe ni pour les vivants ni pour les morts" écrivait Épicure et ça reste toujours vrai : personne ne peut en faire l'expérience — sauf NONE, formation américaine qui en a fait son leitmotiv. Les membres du groupe sont inconnus et son premier album n'a pas de nom ; même le paysage sur la pochette est vaporeux. Si le DSBM est déjà d'une tristesse funèbre qui serre le cœur, les passages atmosphériques donnent à entendre les âmes en peine de l'autre côté du voile. Un début magistral... Jordan Vauvert

  go to album
• 

  Pale Swordsman
  by Këkht Aräkh

  supported by 17 fans who also own “Verde, Negro & Negativo”

  very touching and unique black metal, love it! scheuermilch

  go to album
• 

  In The Shadow Of The Lights
  by Vanessa Funke / Luroga

  featured on Bandcamp Radio Aug 18, 2023

  go to album
• 

  Fate's Overture
  by Mortal Blood

  Heavy, immersive, and intense, Mortal Blood delivers extreme metal with a decidedly gothic darkness. Bandcamp New & Notable Jul 2, 2023

  go to album
• 

  Tide Turns Eternal
  by Dream Unending

  featured on Bandcamp Radio Nov 26, 2021

  go to album
• 

  Life has gone on long enough
  by NONE

  supported by 16 fans who also own “Verde, Negro & Negativo”

  On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert

  go to album